[1]Alors là, je vous le dis tout net Amies et Amis : Ça va cartonner grave de chez ta mère !
Si on fait aussi bien en été qu’en hiver, on va pulvériser tous les records. Il est temps !
Ben ouais, ça fait des années qu’on entend invariablement : « C’était mieux avant », « Ce n’est plus ce que c’était », le genre de pleurnicheries qui, à la longue, prennent bien la tête.
Explosées les jérémiades ! L’heure est à l’optimisme. Foi de Julie, je vous garantis qu’on va faire fort.
Je vous sens sceptiques lectrices et lecteurs de LaQuotidienne. Vous n’avez pourtant aucune raison de douter de mes prévisions aussi fiables que celles de la grande astrologue ultra bigleuse Élisabeth Tessier. La même qui n’a pas vu venir la défaite de Sarko en 2012, la crise des subprimes en 2007, les attentats du 11 septembre 2001, mais qui continue à jouer les fanfaronnes sur les plateaux télé.
Moi, je les distingue à 100 kilomètres les signes avant-coureurs d’un été torride que même qu’on aura jamais vu ça. On va s’éclater à donf’.
Hein ? Quoi ? Mais non, je ne parle pas de ventes, de chiffre d’affaires, de marge, de brouzouf, de fraîche, de cash, de thunes, de pognon… De ce côté, je n’entrevois rien de glorieux.
Je vous parle de météo, tout simplement. Après l’hiver qu’on vient de se fader (et qui n’en finit pas d’en finir), l’été s’annonce chaud bouillant.
Battrons-nous le record des 15.000 ? 15.000 quoi ? Pas quinze mille euros de commissions allons !, mais quinze mille personnes âgées décédées pendant la canicule 2003.
Pas gentille Julie aujourd’hui. Pas gentille du tout ! Très vilaine, affreuse même…
Allez, j’embrasse les p’tits vieux auxquels il ne reste que quelques semaines à vivre (j’ai pas les noms !). Profitez des derniers frimas. Partez en vacances !!!
Julie Labrune, 28 ans.
Conseiller en Voyages