Comment cette chronique va pas remonter le moral de ma cops !
Pas d’aventures extraordinaire de Julie aujourd’hui. Juste et j’espère qu’elle ne deviendra pas mienne ultérieurement.
C’est l’histoire de ma copine qui, pour la cinquième fois, se fait de la bile pour son job !
Et oui, sa boite lance Encore un plan social. Enfin, non, un « plan de départs volontaires » comme elle me l’a souligné !
Quand elle m’a rectifiée, j’ai ri jaune ! Tu parles !
Comme si, autre part, y’avait du taff à foison et qu’en se barrant on allait trouver mieux ailleurs !
Bien sûr, y’en aura toujours pour qui l’occasion fera le toujours le larron, qui sauteront sur le chèque (s’il y en a un !) pour lancer leur projet perso, se reconvertir dans leur métier d’enfance ou qui, parce qu’ils avaient déjà des contacts ailleurs, vont profiter de l’aubaine…
Mais y’en aura aussi qui resteront sur le carreau faute d’avoir fait le mauvais choix (et croyez-moi, j’en connais pas mal de ceux-là).
Et puis, quand il n’y aura plus assez de « volontaires » alors, on passera à l’étape suivante : le PSE !
Ouais, cette espèce d’acronyme qui fait peur à tout le monde. Et comme les meilleurs seront, soit déjà partis de leur plein gré, soit conservés pour cause de performance, et bien, ce seront les plus faibles qui trinqueront. Comme d’hab.
En même temps, c’est sur qu’il vaut mieux garder les meilleurs si on espère redresser la barre. Mais est-ce bien toujours le cas ?!
Et ce principe est-il appliqué à tous les échelons de la sociéte ?
Souvent, les mauvais « haut placés » mettent beaucoup de temps à se faire dégager. Et quand il dégagent ce n’est généralement jamais les poches vides !
Regarez ma copine, elle est très bien. Elle bosse bien. Professionnelle du tourisme, elle est rentable (rapport salaire/bénéfices), elle est dynamique, etc.
Enfin… C’est qiuand même bien triste tout ça !
Allez, j’vous fait des bisous ainsi qu’à ma copine qui se reconnaîtra, (accroches-toi, c’est pas encore fait !).
J’embrasse aussi tous les lourdés du système, les jours meilleurs finiront bien par arriver !
Julie Labrune. 28 ans
Conseiller en voyages
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1 commentaire pour “Comment cette chronique va pas remonter le moral de ma cops !”
100% d’accord. Courage à ta petite collègue, j’ai une ex collègue qui en avait marre de tout (des clients de la société…) aujourd’hui elle ne fait pas plus partie de la boite, elle est partie pour de tout autre horizon et meme si les premiers mois ont été difficiles, elle REVIT. Il faut juste avoir le courage de tout plaquer!!
allez, tout n’est pas si noir..parait il!!!