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Comment j’aime bien voir le bas d’en haut

Même si je ne suis qu’une petite conseillère en Voyages (même pas encore Chef d’agence, depuis le temps ppfff), avec un petit salaire et de grandes responsabilités (ventes-caisse-sécurité-après-vente-préconisations, etc.), il m’arrive quelques fois de me prendre pour une star et d’observer le monde qui m’entoure du haut de ma grandeur !!! (vous y croyez pas, hein ? mais non,  c’est de l’humour, allez !!!)

julie [1]Et j’en veux pour exemple, le dernier concert auquel nous nous sommes rendus avec mon petit chéri (mon Bertrand à moi que j’ai et que j’aime !), il y a une quinzaine de jours.

Le spectacle en question se déroulait à Paris au théâtre Marigny.

Si vous ne connaissez pas cet endroit – superbe, par ailleurs – ce qu’il faut savoir, c’est que son architecte, Édouard Niermans, a eu l’ingénieuse idée d’élever cette salle (1894) sur trois niveaux (merci Wiki !)

Du fait de la petitesse de la salle, vous n’imaginez même pas à quel point la pente est abrupte entre le pare-terre et le dernier balcon !

marigny [2]Autant vous dire que lorsque l’on a peur du vide et que l’on se retrouve placée au 3ème blacon et bien … comment vous dire ?
On est mal !

C’est dans ces moments là, quand je me retrouve accrochée à une rambarde, que j’ai la curieuse impression que ma « pin-upittude » atteint son paroxysme !

Allez, je vous laisse mes copines, sur cette haute considération en vous rappelant quand même que … plus on est haut, plus  on tombe de haut ! A méditer donc.

La bise à tous. Et bonnes vacances !!!!

Julie Labrune. 28 ans
Conseiller en Voyages