Comment j’apprécie la trêve des confiseurs
20 décembre 2013 Julie Aucun commentaire La vie de Julie 2661 vues
Elle est gourmande la petite Julie, même si elle tient à préserver sa ligne élancée et remarquablement dessinée, à côté de laquelle toutes les bimbos de la téléréalité passent pour de vulgaires boudins.
Bon, j’en rajoute un max bien sûr. Vous me connaissez. Mais il n’y a pas de mal à se faire du bien… et à prendre ses désirs pour des réalités.
D’autant que mon physique n’est pas une obsession. Je suis sujette aux petits écarts et donc, à leur corollaire, quelques kilos en trop.
Mais j’ai (encore) la chance de corriger le tir rapidement. Une légère diète et hop !, ils fondent comme neige au soleil. Je m’égare, je m’égare…
Sans doute imaginez-vous que je vais vous entretenir des prochaines agapes de Noël et du Nouvel An, et des petits excès auxquels elles nous invitent. Ben non, vous n’y êtes pas du tout !
Les confiseurs dont je vous parle ne sont pas de ceux qui confectionnent de succulentes pâtisseries, de délicieux chocolats et de non moins suaves marrons glacés.
Mes confiseurs du jour sont de ceux qui œuvrent dans l’arrière-cuisine de notre univers de voyages, de loisirs et de déplacements lointains : nos patrons de réseaux, de TO, de réceptifs, d’instances représentatives… tout ce petit monde qui s’est copieusement écharpé en 2013.
Une année mouvementée, riche en coups de gueule et règlements de compte, dont je ne garderai pas un souvenir impérissable, exceptée la joie de ma collaboration avec LaQuotidienne.
Oui, ça va faire un an que j’œuvre au côté de mon « Éditeur à moi que j’aime, que j’adore, que j’idolâtre ». Ne rougis pas Mon Fifi ! Tu connais mon tempérament enflammé…
Revenons à nos confiseurs et à la trêve qu’ils nous accordent. Ça va nous faire le plus grand bien de souffler un peu (pas sur les braises pour une fois), de disperser la fumée des combats et des duels, de compter les blessés… et les morts au champ d’honneur aussi, de s’interroger sur le sort des disparus corps et âmes. Je pense, notamment, à Philippe de Saint-Victor, grand artisan du rapprochement Afat/Selectour dont je n’entends plus parler.
Que les fêtes de fin d’année soient l’occasion d’un apaisement généralisé. Qu’il se prolonge en 2014 ! La France et nos métiers en ont le plus grand besoin.
Allez, je salue tous les confiseurs qui me lisent (sans vilain jeu de mot). Enterrez vos rancœurs et vos chamailleries le plus longtemps possible.
On se revoit en 2014, d’ici là profitez-en bien.
Julie Labrune, 28 ans.
Conseiller en Voyages
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