[1]Il y a quelques semaines je vous parlais de ces français qui partent à l’étranger pour éviter de payer leurs impôts.
Oui vous savez les Gérard, Johnny, Yannick, Alain ou autres François.
C’est fou ce que les gens friqués, non content de nous donner des leçons de civilité, à nous petites chevilles ouvrières (je ne suis que conseiller en Voyages), souhaitent également que l’on s’apitoient sur leurs sorts !
Mais enfin que l’on soit acteur, footballeur ou fabriquant de lunettes, quand on est citoyen d’un pays, on y paie ces impôts et puis c’est tout.
Si on se tire ailleurs pour éviter de casquer à la solidarité nationale, il serait bon quand même d’épargner à tout le monde ces jérémiades de persécuté.
Ya qu’a regarder le journal télévisé pour voir tous les témoignages de pauvres gens ruinés par le chômage et ratissés par la crise.
Bon ok. On pourrait dire que je raisonne mal (mais je n’ai QU’UN BTS Tourisme).
Le problème n’est pas l’impôt en soi, c’est le niveau auquel le placent les socialo-bolchéviques (comme ils disent) tendance hollandaise qui nous gouverne.
Mais faut les comprendre. Etouffés par le « tout pour ma pomme » qui est la seule idéologie qui reste, les ultra-riches ne sont jamais contents.
On leur prend, ils hurlent. On leur rend, ils n’en ont pas assez.
La leçon a en tirer est finalement assez limpide : Il faut leur en prendre encore plus.
Ce sera de l’argent qui servira enfin à faire des heureux. Il ne faut jamais désespérer, les bonnes nouvelles finissent toujours par arriver.
Allez, c’est la lutte finale, groupons nous et demain… (vous connaissez la suite !)
J’embrasse bien fort les gens « normaux » qui font pas de bruit et mettent la main au portefeuille sans rechigner (c’est quand même les plus nombreux, non ?)
Julie Labrune. 28 ans
Conseiller en Voyages