Comment la personnalisation des sonneries n’est pas toujours une bonne idée !

27 mars 2013   Julie   1 commentaire   La vie de Julie    Albator, Candy, Goldorak, Sonnerie, Telephone    3333 vues

Je suis en plein rendez-vous client. La discussion tourne à plein régime, les idées fusent, les clients sont réceptifs, le parcours est quasiment défini, le budget semble adéquat.

Bref, tout roule.
Un couple entre simultanément dans l’agence. Ma collègue les reçoit. Ils sont pour moi. Un dossier en cours.

Elle leur précise que je suis déjà en rendez-vous ; même s’ils sont suffisamment intelligents pour s’en être rendu compte tous seuls et leur demande de patienter.
Les minutes s’écoulent. Le devis se finalise. Le couple en attente feuillette une brochure.

Hop, deux clients de plus débarquent, pour ma collègue cette fois-ci.
Y’a des jours comme ça qui font du bien au moral. Ma boss est en grande réunion avec deux commerciaux.

Et la stagiaire gère le standard qui n’arrête pas non plus.

En résumé, l’agence bat son plein comme rarement.

Autant d’activité en même temps, c’est pas les stats qui vont venir s’en plaindre !
Puis, tout d’un coup, plus un bruit.

Petit moment d’accalmie temporaire comme parfois les circonstances hasardeuses savent en créer ? Même pas !
C’est mon téléphone qui sonne.

Et ce sont les notes de musique qui ont cet effet silencieux sur l’agence.
Chacun retient sa respiration et me regarde, entre stupéfaction et envie de franche rigolade. « Au pays de Candy… comme dans tous les pays… » Je me décompose.
Euh, c’est une blague de ma cops et j’ai pas eu le temps de la modifier…

C’est ça, Julie, on y croit !!!

Allez, ça ira mieux demain !
J’embrasse quand même Albator et Goldorak au passage …

Julie Labrune, 28 ans
Conseiller en Voyages