[1]Comme j’ai la tête dans le guidon toute la semaine, je ne trouve malheureusement pas le temps de répondre à celles et ceux d’entre vous qui m’adressent des messages sympas (ou moins) en commentaires de mes chroniques ou par mails.
Désolée, je suis OVER-BOO-KÉE. Et puis, pour vous dire la vérité, mon nouveau (et prestigieux) statut de Chroniqueuse pour LaQuotidienne m’interdit de me compromettre avec la première ou le premier Conseiller en Voyages venu.
Moi, je converse direct avec Messieurs Rial de Voyageurs du Monde ou Vainopoulos de Tourcom ! Pas avec Dana de chez Flop Travel ou Julien de chez Par Ici la Sortie. J’ai un rang à tenir, moi !
Mais je remercie néanmoins celles et ceux qui saluent mon travail, ma fraîcheur, ma perspicacité, ma vivacité d’esprit, mon talent d’écriture, mon génie littéraire… Je sais, je sais, je suis une femme d’exception ! Vous n’êtes ni les premiers et ne serez pas les derniers à en convenir.
Que voulez-vous, nous ne sommes pas tous égaux. Je le regrette, mais c’est comme ça. Il y a d’un côté les bons, de l’autre les mauvais. J’appartiens à la première catégorie. Mais chez les bons, il y a les normaux et les excellents… dont je suis évidemment. Et parmi ces derniers, on trouve les miraculeux et les besogneux (ceux qui doivent en faire des tonnes pour être excellents).
Voilà, je pense avoir trouvé le mot approprié : Je suis Miraculeuse !
En plus, je débute. À peine 4 semaines de collaboration avec LaQuotidienne. Bon, forcément, mes chroniques sont plus ou moins inspirées, en fonction de l’actualité, de mon état d’esprit, de ma disponibilité… et de la vôtre aussi. Mais euh… disons que globalement je suis bonne. Voilà, elle est TROP BONNE Julie ! (J’en connais certains qui sont tentés de remplacer le B par un C, non ?).
Allez, c’était mon petit délire mégalo-humoristique du matin pour me donner du courage. Rassurez-vous, je reste une femme de terrain qui ne se prend pas la tête. J’aime mes clients, mes collègues, les gens de la vraie vie. Je revendique et assume mes origines populaires et rejette ceux qui, comme dirait Papy René, « pètent plus haut que leur cul ».
Je suis attentive à tous vos messages d’encouragement ou plus timorés. Et vous en remercie.
Détracteurs ou encenseurs, je vous embrasse !
Julie Labrune, 28 ans.
Conseiller en Voyages