L’aéroport de Nice, c’est un peu là où l’histoire en France pour Easyjet a commencé il y a 25 ans. 2021 sera peut-être l’occasion de célébrer ce quart de siècle sur le tarmac niçois. Un aéroporta où en 2019 il a acquis le statut de première compagnie pour le trafic traité avec 5 millions de passagers soit près du tiers du trafic global. Elle a même consolidé sa présence avec base doté de 5 appareils qui assurait plus d’une quarantaine des destinations.
Aussi 2020 avec la pandémie a mis à mal la compagnie qui a présenté récemment ses résultats avec une perte de 835 millions de livres sterling sur l’exercice écoulé. Reginald Otten, directeur général adjoint d’easyJet France, avoue que l’entreprise a dû mettre en place un plan drastique d’économie face au retour de la Covid-19 à l’automne et des mesures sanitaires de confinement dans les différents pays européens.
Par exemple la ligne Nice Londres où Easyjet avait acquis 50 % de part de marché avec une dizaine de fréquences par jour est au point mort.
La compagnie est à 20 % de sa capacité sur Nice et certaines lignes vers le Maroc et Israël ont été arrêtées à la suite des décisions prises par ses Etats. Easyjet à Nice s’est donc recentrée sur le national avec lad esserte de Toulouse Paris, Lille, Bordeaux… Bientôt Nantes et Genève à nouveau, en décembre.
Pour Noël la compagnie promet de compléter ce programme par des vols vers Rennes, Porto, Bruxelles Marrakech Amsterdam, Berlin, Bristol, Bâle-Mulhouse, Charles de-Gaulle, Londres-Gatwick, ou Lisbonne toujours en fonction des restrictions de chaque pays.
MB