Oubliés les mauvais chiffres de l’année 2012, la Hongrie a reprit sa place dans le Top des destinations préférées des français et entend bien la conserver en s’appuyant plus que jamais sur ce qui a toujours fait sa différence : sa dimension culturelle.
[1]Présent à Paris, à l’occasion du lancement du Festival de Printemps de Budapest, Gergely Horvathy (photo ci-contre), le directeur de l’office de tourisme hongrois, compte en effet sur ce festival reconnu et plébiscité internationalement (du 21 mars au 6 avril prochain), pour conforter le fort développement de la Hongrie comme destination touristique incontournable.
« Bien sûr Budapest, avec 50 % de la fréquentation totale, est la porte d’entrée des visiteurs étrangers en Hongrie et nous comptons bien développer encore plus l’attractivité de la capitale en organisant des événements culturels majeurs internationalement, comme cette 34ème édition du Festival du Printemps« .
Les places dans les salles de concert (4 000 actuellement) seront ainsi doublées, de grands projets architecturaux verront également le jour et une enveloppe de 5 millions d’euros a d’ores et déjà été votée pour soutenir en terme de promotion cette croissance.
« Le mariage entre culture et Tourisme existe depuis 1981 à Budapest » complète Barbara Packi (photo au côté de SE l’ambassadeur de Hongrie en France), la responsable de l’office en France ajoutant « le gouvernement soutient depuis bientôt cinq ans ce festival, véritable vitrine de ce qui fait la richesse de la culture hongroise « .
Raffinement, délicatesse et harmonie sont les qualificatifs qui reviennent le plus souvent dans la bouche des visiteurs français, qui malgré la faillite de la compagnie nationale Malev, sont toujours plus nombreux à visiter le pays. La France est aujourd’hui, avec 384 000 nuitées (+ 1,8 % vs 2012), le 11ème marché émetteur (derrière entre autres l’Allemagne, l’Autriche et l’Italie).
Et les compagnies française s’y sont pas trompées à l’image de Transavia qui vient tout juste de programmer un vol sur Budapest, du tour opérateur Amslav ou du réseau Havas Voyages qui ont fait le pari de la réussite de Budapest, à seulement 2h30 de vol de Paris, sur le marché français.
PR