Nous avons posé trois questions à Frédéric Vanhoutte (photo), créateur et Directeur du salon Totec (Tourisme- Technologies- Conférences).
LaQuotidienne : Quel est le bilan chiffré de la dernière édition du Totec ?
FVH : Le Totec 2014 fut celui des records et il y a eu plus de monde, 600 inscrits et 486 participants.
472 se sont inscrits sur notre partenaire Happydemics pour voter sur place à propos de leur satisfaction concernant chaque intervention.
Nous avons présenté plus de conférences : 37 interventions, dont 15 start up, encadrées par United Airlines, elles ont réussi l’exploit d’enchaîner la totalité des présentations en quinze minutes.
22 start-up étaient présentes et 70 % des interventions furent de moins de 15 mn. L’accent fut ainsi mis sur le pragmatisme et le rythme.
LQ. Quel est le bilan qualitatif ?
FVH : Aux dires des participants (26 % ont voté), le Totec a répondu aux attentes et s’avèrent « très satisfaisant » pour plus de 82 %.
Aux dires des intervenants, le cadre, la qualité de l’auditoire, l’organisation et les sessions étaient de haut niveau, les jeunes pousses, elles-mêmes, ont d’ores et déjà confirmé leur participation pour 2015.
La restauration, par Potel et Chabot, aux couleurs de Technopole de l’Aube, Sixt, Accovia et Orchestra a fait l’unanimité et je sais que c’est important.
Le débat fut technique mais moins sulfureux que les éditions précédentes et je suis satisfait car la salle a participé activement.
LQ. Quelles ont été les principales révélations concernant le monde de l’aérien à venir ?
FVH : La reconnaissance faciale de Reminiz, c’est à la fois passionnant et inquiétant. La valise intelligente, elle dit combien elle pèse et donne sa localisation dans le monde entier. L’ascenseur pour la lune, Le Wi Fi à bord des appareils et les nouveaux écrans publicitaires intelligents dans les aéroports, ils choisissent le message en fonction des individus exposés au panneau.
[1]Je crois à la voiture de location aux aéroports qu’on ouvre avec son téléphone portable et bien sur à la data, coeur de ce métier dès demain.
Propos recueillis par LSJ.