Les annulations s’enchaînent pour les hôtels niçois, certains responsables envisagent des fermetures et un chômage partiel. Pour Denis Cippolini, président de la Fédération de l’hôtellerie, de la restauration et du tourisme Nice Côte d’Azur, la ville n’a jamais vécu une telle situation même après l’attentat du 14 juillet 2016.
Il précise que le taux d’occupation global atteint 20 % alors qu’il devrait tourner être de 60/65 % en cette période de l’année.
Des hôtels, petits ou grands, envisagent de fermer, d’engager une procédure de chômage partiel.
« Il faudra aller plus loin, faire des suppressions sur les charges sociales et fiscales notamment » précise Denis Cippolini.