C’est une ville historique et une ancienne capitale, Située à 43 kilomètres à l’est de l’actuelle capitale économique du pays, la localité est le chef-lieu du département de la région.
Grand-Bassam est une ville historique et une ancienne capitale de la Côte d’Ivoire (1893-1900).
Le 3 juillet 2012, le quartier de France de Grand-Bassam, considéré comme le cœur historique de la ville, est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.
La ville est située sur le littoral et comprend de ce fait une façade sur l’océan Atlantique et une autre sur la lagune Ébrié.
En tant que station balnéaire, Grand-Bassam a mis l’accent sur un élément clé pour attirer davantage les touristes ainsi que les rencontres internationales pour les colloques et les séminaires. Elle compte donc un bon nombre d’hôtels et de restaurants. Grand-Bassam regorge aussi de lieux touristiques qui permettent d’en savoir plus sur le passé historique de cette ville. Nous pouvons citer:
Le musée du costume
Le centre céramique
Le phare
L’ancienne maison de la poste.
Pour se rendre à Grand-Bassam, associations de jeunes, comités d’entreprise, mutuelles louent des gbaka (minibus) à Abidjan et font le trajet le samedi, et surtout le dimanche matin, avec des amis ou en famille, pour passer la journée au bord de la mer ou de la lagune, y pique-niquer…
« Il y a beaucoup d’effervescence, beaucoup de monde, toutes les communautés y vont. Ce sont des grandes tablées pour manger des fruits de mer. L’ambiance est très bon enfant, pas du tout Saint-Tropez, décrit Fabrice de Creisquer, délégué CFAO pour la Côte d’Ivoire. Quand les Abdijanais vont à la plage, ils vont à Bassam. »
« C’est une plage longue de plusieurs kilomètres bordée de petits maquis, des petits restaurants de grillade », résume Francis Dufay, un autre Français expatrié, qui y va parfois passer la journée, pour prendre l’air, y déjeuner et se baigner [2] dans la piscine d’un petit hôtel.
« Ceux qui ont le plus d’argent vont passer le week-end là-bas », explique Mme Bohui, de l’office national du tourisme ivoirien, selon qui, tous les week-ends, « les chambres dans les hôtels sont pleines ». Depuis l’an dernier, une autoroute de deux fois trois voies y conduit, permettant des retours moins embouteillés le dimanche soir.