Le congrès du premier réseau d’agences de voyages de France, Selectour, s’annonce sous de bons auspices. La fréquentation d’une part est largement supérieure à celle de l’année dernière à Istanbul et les débats d’autre part promettent d’être vifs et passionnants. La personnalité du nouveau président, Laurent Abitbol, n’y est bien sûr pas étrangère.
Le Québec pour terrain de jeu
C’est le Québec qui a été choisi pour accueillir le 7ème congrès Selectour, clin d’œil peut être au retour, parmi les fournisseurs du réseau, du groupe Transat France d’origine québécoise, désormais propriété de TUI, mais plus surement à notre avis pour faire découvrir un pays atypique, haut en couleur et francophile.
[1]Un thème fédérateur ?
« Optimisme & Performance » est le thème choisi cette année par les organisateurs du congrès sans doute bien conscients de la nécessité de re-dynamiser des troupes encore minées par la conjoncture économique et l’état d’esprit plutôt négatif des consommateurs.
Le président de tous les agents
On attend quelques 500 congressistes à Québec. C’est une centaine de plus que l’an dernier à Istanbul, dans un contexte canadien évidement moins anxiogène que celui de la capitale turque à l’époque. Ceci expliquant cela.
Très attendu, Laurent Abitbol devra expliquer sa position concernant la concurrence entre Selectour et Havas (réseaux dont il est le président), la présence au congrès de fournisseurs TO non référencés (notamment Kuoni) et sa stratégie pour l’année 2017, année électorale qui s’annonce compliquée pour les adhérents.
PR