C’est par le légendaire Transsibérien que Géraldine Dunbar a choisi de renouer avec la Russie. A bord du » train des trains « , dans les gares et les villes où elle fait étape, la jeune voyageuse croise des gens d’horizons divers : cheminots, artistes, vendeurs ambulants, étudiants, militaires, chasseurs et pêcheurs, vétérans, anciens déportés ou nouveaux riches.
[1]Ces rencontres lui permettent de mieux comprendre la société russe, où coexistent deux générations : l’une nostalgique de l’époque soviétique et l’autre plus tournée vers l’Occident.
Seule sur le Transsibérien : Mille et une vies de Moscou à Vladivostok ,
Géraldine Dunbar
Éditeur : Editions Transboréal