Le blocage ferroviaire et les grèves génèrent de fortes inquiétudes pour les professionnels azuréens. Ainsi Denis Cippolini président de la fédération de l’hôtellerie, de la restauration et du tourisme Nice Côte d’Azur observe que l’image des mouvements sociaux à l’étranger donne encore une image négative de la destination azuréenne où la majorité des touristes en ce début d’année viennent de l’étranger. Une image qui pousse ces derniers à revoir leur projet en février pour le carnaval.
Le carnaval de Nice ainsi pourrait être impacté.
Pour l’instant les taux d’occupation tournent autour de 55 % à 60 % à Nice contre 70 à 80 % en fin d’année. Or dans l’hôtellerie une chambre non louée c’est une perte définitive.
Mais au delà la perte financière, c’est l’image touristique de la France qui est écornée. Or le tourisme est pour les économistes l’activité qui contribue largement a résoudre le déficit de la balance des paiements.
MB